L’ÉTANG
Bel étang, tu étires tes ramages,
Le long de tes rives, tu nourris les sages.
Aux aurores de ces matinées d’automne,
Tes couleurs vermeilles,
aux tons frémissants sonnent.
Encore un peu endormi, presque transparent
Tu nous berces tendrement,
sur un rythme lent.
Ton doux feuillage dissimule ton âme,
Ton cœur porte tous les secrets d’une femme.
Seule, emportée par le tourment
de mes songes,
Où ton cours d’eau délicatement s’allonge.
Pâle miroir de l’esprit en proie
aux longs tourments,
Tu brilles dans les profondeurs
du subconscient.
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Joëlle BARDOT
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