LIBERTÉ
Dans les grands vents des océans
Tu croises l’oiseau migrateur
Qui s’étire sans élan
Pour dévoiler sa splendeur.
Une nuit, je t’ai côtoyé
Dans mes rêveries confuses.
Tu adulais délicatement ma muse
De ta verve exaltée.
D’en haut, toujours plus haut,
Tu scrutes l’étrange passant,
Loin du tumulte étourdissant
Tu dissimules ta lyre dans le vent.
Cependant après ton passage
Demeure comme une singulière lueur
Qui capture pleinement les rivages
Des cœurs débordants de vigueur.
Présente dans les esprits les plus fugaces,
Aux abysses des profonds retranchements.
Tu pousses l’action pour saisir une place
Et révéler l’importance de tes agissements.
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Joëlle BARDOT |