L’OMBRE
Ombre, tu pénètres insidieusement la lumière,
Bouleversant les formes et les contours,
Tu troubles l’éclat délicat de la matière
De ta majestueuse étoffe de velours.
Ton empreinte obscure prolonge les lignes
Dans l’espace immuable et généreux
Offrant ainsi une puissance maligne
À l’imaginaire en proie aux tourments ténébreux
Tu défies la clarté dans son dessein édifiant,
En imposant ton profil comme une réalité
Qui se meut avec aisance au gré des vents
Sans le moindre respect de ses humbles volontés
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BARDOT Joëlle |