J’Y PENSE ENCORE
Qu’importe de vivre dans l’ombre,
Seule, pour exprimer ses idées.
Même si, pour exister quelques secondes
Il faut se battre durant des années.
Qu’importe si je suis différente, un peu sauvage,
Je cours dans le sillage de la mer,
Et ma mère, avec son regard sans âge,
Ne comprend pas mes histoires éphémères.
Elle rêvait pour moi, d’un avenir plus sage,
D’une vie douce comme un conte de fée.
Moi, sans cesse poussée par les vents du large,
Je voyage dans le tumulte de mes pensées.
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Joëlle BARDOT |